Barichara
Quelques 10aines de kilomètres plus au nord, nous quittons la route principale pour rejoindre la petite ville coloniale de Barichara : rues pavées, murs blanchis à la chaux, toits de tuiles rouges, la ville est classée monument national depuis 1978.
En se promenant dans ces jolies rues, on aurait presque l’impression de se trouver en pleine époque coloniale, à ceci près que les rues sont pleines de voitures, ou de tuk-tuks ravis de vous faire découvrir les sites remarquables, sans avoir à gravir les grandes rues pentues !!



Il ne faudra pas le proposer aux filles 2 fois…
Et hop nous voilà en selle 😉 avec au programme visite de la ville et même dégustation de sabajon, une boisson à base de lait de chèvre aromatisé au café, au whisky ou à l’ananas… bien crémeux, c’est excellent bien frais !



Dernier arrêt, dégustation de la spécialité locale : la fourmi « gros-cul », traduction littérale de hormigas culonas, dégustées ici depuis plus de 500 ans quand les Guanes les élevaient et les mangeaient pour leurs propriétés aphrodisiaques et curatives !!
Seul Pierre s’y est risqué…

Et maintenant il ne nous reste plus qu’à attaquer les 800 derniers kilomètres qui nous séparent de Carthagène des Indes ! En voiture Simone !!
Hélène BOUÉ
Comment Pierre a-t- il apprécié les fourmis 🐜 ? Cela lui a-t-il rappelé les vers 🐛 de bancoule ?
On voit aussi que Zoé prend des risques au- dessus du vide , bravo elle n’a pas le vertige ! Pas comme quelqu’une que je connais bien 😰!
😘😘😘😘
Edmond
Bien qu’on trouve des protéines un peu partout je n’aurais pas goûté aux fourmis, bravo Pierre!
Bonne route vers Carthagène.
Bises.
Edmond